Diplômée d’une licence bi-disciplinaire Chimie-Biologie en 2015 à Sorbonne Université (Paris), d’un diplôme de l’École Normale Supérieure et d’un master de Chimie (spécialité chimie moléculaire) à Sorbonne Université en 2018, Mathilde Le Jeune est actuellement en thèse à Sorbonne Université sous la direction de Christine Ménager (laboratoire PHENIX) et Fabienne Burlina (Laboratoire des biomolécules). Financé par le programme doctoral Interfaces Pour le Vivant (IPV), son projet de recherche se concentre sur le contournement de la voie d’endocytose des nanoparticules magnétiques.